La Sophrologie tout le monde en parle

Comment te sens-tu à cinq jours du départ ?

« Étonnamment bien. Je ne m’attendais pas forcément à pire, mais je travaille le fait d’éviter le pire. Je dis souvent que sans le savoir, comme Mr Jourdain faisait de la prose, je fais de la sophrologie. J’essaye d’évacuer les problèmes. J’ai la chance de me sentir à l’aise sur le bateau, d’avoir une confiance absolue dans les garçons qui y travaillent. Il n’y a pas si longtemps, il fallait que je touche à tout, tout le temps, que je vérifie tout. J’ai encore l’œil partout mais j’ai confiance dans les garçons et quand on a confiance, inévitablement, la tête va beaucoup mieux.Vendée Globe – 4 novembre 2008 – Loïck Peyron : « une partie de nos neurones est déjà en train de naviguer »

Soldat de retour d’Afghanistan : la sophrologie pour décompresser : Lire l’article 

Comment gérez-vous le stress ?
Je note tout ce que j’ai à faire et à penser dans un petit carnet, c’est un peu obsessionnel mais ça m’aide à me structurer. Et je circule à scooter pour être à l’heure à mes rendez-vous.

Vous allez chez le psy ?
Je suis allée voir une psy pendant un an et, récemment, je me suis mise à la sophrologie. J’avais besoin de faire un point sur mes émotions. Je suis comme une éponge, un shaker à émotions secoué dans tous les sens.

Interview pour le magazine « Elle » à retrouver ici– 3 novembre 2008 – Beauté – Marie Gillain 

Cédric Grand : Bobsleigh et sophrologie
Cédric Grand a entamé à Winterberg sa 13e saison dans le petit monde du bobsleigh. A 32 ans, Cédric Grand vise un ultime objectif avant de raccrocher : l’or olympique aux Jeux de Vancouver.

Voilà plus de 10 ans que vous êtes “immergé” dans le monde du bob. La passion est-elle toujours la même?

CEDRIC GRAND: Oui, la passion je l’ai toujours. Ma volonté de faire des résultats est là et mon objectif principal est de remporter une médaille d’or aux Jeux de Vancouver, en 2010.

Qu’est-ce qui vous séduit particulièrement dans ce sport?
CEDRIC GRAND: C’est la vitesse, l’adrénaline qu’on peut ressentir. En même temps, c’est un sport de force. Tous ces points me correspondent, en fait, “Je dois me maintenir physiquement”

Mais arrivez-vous encore à progresser ou êtes-vous déjà au maximum?
CEDRIC GRAND: Je dois surtout me maintenir physiquement. Le travail porte davantage sur le plan mental afin de rester motivé, justement. A ce sujet, j’ai pris des cours de sophrologie. Mais maintenant, c’est un travail personnel que j’effectue sur moi-même. Cette solution me convient très bien.

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